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Né en 1947, initié à la musique dès l’age de 6 ans, Michel Méaux devient trompettiste professionnel, suite à de brillantes études au Conservatoire Royal de Mons, et est engagé à l’orchestre de chambre de la RTBF à l’âge de 28 ans. Il devient professeur au Conservatoire Royal de Mons en 1989. Michel Méaux dirige souvent des orchestres de musiciens professionnels, comme dans le « Barbier de Séville » au théâtre Royal de Mons en  2004 et 2005, par exemple. Il n’abandonne pas pour autant ses musiciens amateurs. Il est le directeur artistique de la Royale Philharmonie de Saint–Symphorien depuis 1967. Ses avis et conseils y sont très respectés. La carrière de MICHEL MEAUX est celle d’un meneur d’exception. Elle  foisonne d’entreprises réussies, de décisions généreuses, de prestations de maître. Chacun de ses choix  porte la marque de son dévouement tenace. Ceci force chaque musicien qu’il dirige à vaincre les défis.

Michel Méaux + en détail           

Michel Méaux naît à Harveng, le 26 juin 1947. Il est initié à la musique dès  l’âge  de 6 ans  par  Edgar Stievenart,   sociétaire  de la musique d’Harvengt ; mais c’est à 9 ans qu’il fait ses premiers grands pas sous la baguette et la stimulation de son grand-père, Clément Deombrun, chef de la même  musique.  Travailleur  et  doué, à 18 ans  il  obtient  ses premiers prix de solfège,  de   trompette   et  de  transposition, au  Conservatoire  Royal  de  Mons. Sa carrière  d’enseignant   débute  en  1966,  comme  professeur  de  cuivres,  à l’Académie de Morlanwelz où il forme de nombreux élèves. Chemin faisant, il poursuit ses études, décroche un premier  prix  de musique de chambre en 1967,  puis le diplôme supérieur de trompette en novembre de  la même  année.  Michel   Méaux  a  20 ans.  Il   devient   l’actuel  directeur artistique   de  la  Royale Philharmonie de Saint - Symphorien.  L’an  1969  récompense  ses efforts  par  un  diplôme  supérieur  de musique de chambre. En 1970, devenu titulaire de la classe de cuivres à l’académie de Houdeng-Aimeries, il assure dans un même temps la charge du cours de trompette au Conservatoire Royal de Mons pour une durée de quatre ans.

Engagé comme trompettiste à l’orchestre de chambre de la RTBF en 1972, il passe ensuite à l’orchestre symphonique de la même institution. La Royale Fanfare Les Chasseurs de Binche fait appel à sa maîtrise pour occuper le pupitre de direction en 1981 et pour une durée de 15 ans. En 1983, Michel Méaux se voit confier, la direction de trois concerts; c’est sous sa baguette que joue l’Orchestre des Jeunes de la Communauté Française de Belgique. Sa déjà longue et brillante carrière musicale est couronnée à l’âge de 43 ans, en 1989, par sa nomination au poste de professeur de lecture et de transposition au Conservatoire Royal de Mons. Intarissable enseignant, Michel Méaux ne cesse de communiquer son art à ceux qui l’approchent, tant dans le cadre d’écoles que de stages musicaux. Au cours de l’été 1993, accompagné de l’Orchestre à vent de la Communauté Française de Belgique, il part  pour Angoulême. Il y amorce à travers la France une tournée de dix jours. Elle s’achève par deux concerts internationaux rassemblant 250 musiciens. Des représentants de la Pologne, de la Russie, de l’Allemagne et de l’Angleterre sont du nombre. Ce stage l’amène à la prestation de deux concerts importants, l’un à l’île d’Oléron, l’autre à l’île de Ré. S’il participe à la cérémonie d’ouverture du Conservatoire Royal de Mons, aux Symbiophonies 93 de même qu’à la remise des insignes de Docteur honoris causa à la Faculté de Gembloux, s’il dirige le Brass Band du Conservatoire lors du concert d’hommage à Adolphe Sax en 1994, il invite aussi des virtuoses étrangers, tels une organiste et un trompettiste praguois, à se produire chez nous  à Saint-Symphorien, en 1997. En 1996, il est nommé Professeur de Musique de Chambre au Conservatoire Royal de MONS.

En présence de S.A.R. le prince Philippe, à l’occasion de la réouverture du théâtre Royal de Mons en 1998, Michel Méaux dirige des chorales régionales associées à la Royale Philharmonie de Saint-Symphorien pour accompagner le baryton Stephen Salters, lauréat du Concours Reine Elisabeth.
En cette même année 1998, un concert est organisé à l’occasion du centième anniversaire de la naissance  d’Alex de Taeye, ancien  directeur du Conservatoire Royal de Mons. La Royale philharmonie de Saint-Symphorien y participe. Elle s’y produit sous l’inlassable baguette de son chef.
Michel Méaux dirige souvent des musiciens professionnels. C’est le cas, entre autres, pour la 3ème Symphonie de Saint Saëns à Saint-Ghislain en 2004, ou pour le Barbier de Séville en 2004 et 2005 au théâtre Royal de Mons.
Il n’abandonne pas pour autant ses musiciens amateurs. Professeur de solfège à l’école de musique de la Royale Philharmonie, il est membre du conseil d’administration de cette société. Ses avis et  conseils artistiques y sont très respectés. Il lui arrive d’écrire pour elle des arrangements d’oeuvres de Strauss, ou autres compositeurs, qu’il veut entendre interpréter par celle qu’il appelle « Sa Société ». 
Année rare. Nous sommes en 2007. Michel Méaux  fête ses 60 ans, à la fois riches de 50 années de pratique musicale et de 40 années de direction à la Royale Philharmonie de Saint-Symphorien. C’est  avec elle qu’il enregistre leur 3ème CD ; il porte cette fois son empreinte anniversaire.
La fin 2007 et le début 2008 mettent à l’affiche des représentations de l’intégrale de CARMINA BURANA ; environ 250 musiciens et choristes suivront sa baguette de chef hors du commun.
Vous ne vous y trompez pas. La carrière de MICHEL MEAUX est celle d’un meneur d’exception. Elle  foisonne d’entreprises réussies, de décisions généreuses, de prestations de maître. Chacun de ses choix  porte la marque de son dévouement tenace. Ceci force chaque musicien qu’il dirige à vaincre les défis.

 

 

 

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